IL FAUT FAIRE DES ECONOMIES pour ne pas continuer à faire exploser la dette nationale : restrictions budgétaires et taxes supplémentaires est le projet Barnier. Voilà pour le global. Maintenant, le local. Les "collectivités territoriales" devront se serrer la ceinture et donc, pour nous la CeA (dont le président est LR comme ce gouvernement illégitime !) devrait étudier SES projets pour voir si ceux-ci (ou un certain nombre d'entre eux) sont importants, indispensables, utiles pour la population "gérée". Voilà déjà comment faire des économies en annulant :
dimanche 20 octobre 2024
QUELQUES TEXTES PUBLIES (sur ma page informative et critique FaceBook ! )
mardi 8 octobre 2024
NE PARLER QUE DE CE QUI SERT LA PROPAGANDE D'UN SYSTEME … pour qu'il perdure le plus longtemps encore possible !
LA GRECE, L'ESPAGNE par exemple : pourquoi on n'en entend que peu ?
Oui, la Grèce, on en a parlé lorsque Syriza a gagné des élections (2015) et que la Troïka (Banque centrale européenne, Commission européenne et Fonds monétaire international ) a mis à mal le plan de relance proposé par leur ministre de l'économie, Yanis Varoufakis, que Wolfgang Schaublé, ministre des finances allemand a tout fait pour qu'il ne puisse pas se mettre à l'oeuvre en étant même favorable à l'expulsion de la zone Euro d'un État qui ne parviendrait pas, selon lui, à redresser ses finances publiques. La situation en Grèce est explosive à la suite d'une précarisation drastique de la population grecque et d'une coupe chirurgicale dans tous les services publics d'Etat. C’est le conservateur Kiriakos Mitsotakis qui occupe maintenant le poste de Premier ministre depuis le 8 juillet 2019, succédant à Aléxis Tsípras, leader de Syriza (gauche radicale). Il est réélu pour un second mandat le 25 juin 2023. Et depuis, on ne parle plus de la Grèce. Pourtant, ce qui se passe et s'est passé dans ce pays doit nous interroger. La crise dans le pays est devenu une crise du sens, sur la vie, la dignité. Ce sont les jeunes, les minorités qui essayent de nouveaux chemins de résilience collective et construisent un autre monde possible autrement. Ils se positionnent aussi face à la re-montée du fascisme partout à l'oeuvre en Europe actuellement. « Nous devons inventer de nouvelles utopies, emprisonnés que nous sommes dans nos propres frontières personnelles intérieures ». Ne vivons plus comme des esclaves est devenu leur slogan et le titre d'un film que vous pouvez voir gratuitement en cliquant sur un de ces liens (1h30) : http://nevivonspluscommedesesclaves.net/spip.php?rubrique16 et aussi https://www.youtube.com/watch?v=rpqk24qvoR4&t=2s
Et l'Espagne. Tout ce qu'on entend, c'est que 23 millions de touristes se sont rendus dans ce pays cette année : un record absolu ! Le pays est dirigé depuis quelques années par le socialiste Pedro Sanchez en coalition avec Podemos, la gauche radicale. Cela a engendré de nombreuses réformes sociales dont pas mal en faveur de la situation des femmes. En avez-vous entendu parler dans la presse, les merdias de la propagande en France ? Non ou quasiment pas.
Pourquoi on ne cite jamais ou très rarement ce qui se passe dans ces pays ? Parce que cela fait réfléchir, pose des questions qui nous concernent tout autant. « Il faut dire au peuple français que ce qui nous arrive va le toucher très bientôt » dit cette jeune femme grecque dans le film. On y est. Et de rajouter que si on se sent démuni, impuissant, il faut se lever, se réveiller et … au moins essayer.
L'avenir n'est pas écrit...
mercredi 25 septembre 2024
L'ECOLE DE LA VIE
J'aimerais partager mon point de vue personnel sur ...l'école, à l'éclairage de mon grand âge !
« L'école, apprentissage de la vie », c'est ce qui était une sorte de slogan à un moment donné. Il est vrai qu'on est passé, dans les dénominations de notre école, de "Instruction Publique" à "Education Nationale" !
L'évolution de l'être humain, en exigences scolaires globales, c'est : parler, écrire, lire, calculer, connaissance de son environnement (naturel, géographique, historique, économique, social, politique, …).
Dans ces quelques mots, on voit toutes les possibilités « pédagogiques ». Les méthodes, les programmes, les évaluations, les examens, ...tout a été modélisé, uniformisé, valorisé, …
Quelle est encore la part de chaque être dans ces processus d'apprentissage ?
Le maître enseigne, partage ses savoirs, l'élève emmagasine et répète.
Dis ainsi, c'est très dur à entendre et caricatural à plus d'un titre. Mais...
Partir des besoins, des envies des enfants, construire des stratégies hypothético-déductives, être hors des murs le plus souvent, provoquer la créativité, l'inventivité, les questionnements préalables aux apprentissages, interroger la mémoire de l'évolution, les règles essentielles du vivre ensemble, respecter les rythmes individuels et les temps de repos, d'isolement, ….
Le cadre scolaire, les effectifs chargés, sont des barrières à tout cheminement un peu différencié.
J'aimerais tellement me dire que je suis complètement décalé, que tout a changé, qu'aujourd'hui on est bien plus loin, on a tout compris et on laisse entière liberté aux enseignants de choisir leur façon de partager, d'élargir les cadres, d'accompagner les enfants qui leur sont confiés.
Mais, j'ai aussi l'impression qu'il n'y a plus cette confiance ; qu'aujourd'hui, les hauts fonctionnaires et ministres demandent aux enseignant-e-s d'être des exécutants, des outils de mise en œuvre de directives imaginées dans des lieux éloignés des réalités quotidiennes et d'une pensée globale. On change, on expérimente, on évalue selon des critères ciblés, et on s'éloigne de plus en plus de ce qu'ont besoin des jeunes enfants, de leurs questionnements, de leurs envies, de leur créativité, de …
Bien sûr, je ne suis plus du métier, éloigné des pratiques quotidiennes, et peut-être que je ne vois que contrôles, tri et classifications, obligations de services et de contenus, hiérarchisation...
J'ai l'impression que les « penseurs de l'école » sont plus dans un processus de formater les esprits, encadrer, classifier, que d'ouvrir, libérer les initiatives, établir la confiance dans la diversité des méthodes « d'apprentissage de la vie ».
Et cet apprentissage passe bien par : parler, écrire, lire, calculer, connaissance de son environnement (naturel, géographique, historique, économique, social, politique, …).
Un-e enseignant-e sait comment organiser tout cela.
Faire confiance, laisser la liberté d'inventer, de faire, de mettre en oeuvre.
Foutez la paix aux enseignant-e-s !
C'est pas des conseils qu'il leur faut, mais des moyens ....
jeudi 19 septembre 2024
CE N'EST PAS LE TEMPS QUI COMPTE, MAIS CE QU'ON EN FAIT
"Quand tu ne sais plus où tu vas, souviens-toi d'où tu viens." dit un proverbe africain.
J'ai aussi une chanson dans la tête qui disait : « on est bien peu de chose... ».
Dans toutes les situations, il est important de ne pas oublier l'évolution de l'espèce « humaine » -d'où nous venons- et que notre temps sur cette planète Terre est très court, qu'il faut être humble si on est réaliste. Cela relativise beaucoup de questions qu'on peut se poser.
Je regarde le ciel bleu, pas un nuage et cette immensité.
Je sens la chaleur du soleil et je me dis qu'il est très, très loin et pourtant il me chauffe et m'éblouit.
Je regarde le ciel dégagé, rempli d'étoiles et elles sont innombrables. Et cet étrange impression de voler dans l'espace tout en me tenant debout ancré dans le sol.
Oui, il y a ce cosmos dans lequel dérivent des magmas divers dont des planètes comme la nôtre, la Terre.
Face à cet espace infini, on se sent très « petit », quasi insignifiant et ça interpelle, ça nous questionne quand même un peu, non ?
Sur notre Terre, on a une richesse incommensurable, de l'air respirable, de l'eau potable qui nous permettent de « vivre », d'exister ! Et des multitudes de plantes, d'animaux, d'espèces très variées.
Nous sommes des êtres vivants comme les animaux dont nous faisons partie. Nous sommes fragiles et dépendants. Pour arriver à une certaine autonomie première, marcher sur deux pieds, parler, se nourrir, il nous faut un certain temps, bien plus que pas mal d'autres animaux qui se mettent sur leurs pattes de suite.
L'évolution de l'espèce humaine a été très lente, très longue...
La connaissance progressive de plantes, de baies, de fruits, de racines a permis la survie de l'espèce. La mise en œuvre de stratégies a permis de se défendre un peu contre les autres animaux prédateurs. La découverte du feu a été primordial dans un premier temps. De cueilleur, l'être humain est devenu chasseur, a pu cuire des aliments et être moins atteint par des maladies. De nomade, petit à petit, il s'est sédentarisé en petits groupes qui se sont organisés en solidarité, se sont « socialisés » en inventant des règles de vie commune. Leurs ressources venaient de la nature et de l'apprentissage de l'élevage.
Les petits groupes, ces communautés primitives d'une cinquantaine de personnes, ont commencé à échanger entre eux. En augmentant en nombre, certains sont allés sur de nouveaux territoires pour s'établir ailleurs où les ressources de survie étaient suffisantes pour la communauté.
Dans les cycles « naturels », toutes les espèces ne sont pas égales. Il y en a qui ont une existence de quelques jours, d'autres quelques années, mais aucune n'est « immortelle » ! Il y a aussi des arbres centenaires, des montagnes millénaires et quelques rares êtres humains qui dépassent un peu les cent ans.
Je ne vais pas développer ici toute l'histoire des civilisations humaines qui se sont succédé. Les inventions diverses, les voyages plus lointains en bateaux, les constructions, l'exploitation des ressources ont changé progressivement et en accélération constante, cela a impacté profondément notre façon de vivre, de se comporter, de penser.
La densification de l'habitat, la concentration dans des villes, dans des régions, l'industrialisation, l'électricité, le pétrole, le gaz, les armes, la numérisation, la centralisation des contrôles, le monopole de productions, les monocultures, … La liste est longue des transformations profondes qui ont bouleversé l'être humain et qui a peu à peu perdu toute ...son humanité !
Ne jamais oublier d'où l'on vient, ne pas ignorer que notre temps d'existence est très court, cela permet de mieux se situer, de beaucoup relativiser et de pouvoir apprécier les choses « simples ». Et puis, et puis, et puis surtout, avoir une conscience aiguë que nous sommes dépendants de notre environnement naturel, des plantes, des animaux, des ressources naturelles, de la qualité de l'air et de l'eau.
La question est toujours : de quoi avons-nous besoin ?
Les réponses vont être très diversifiées, elles sont révélatrices de l'évolution de la conscience humaine. Elles nous permettent de nous situer, dessinent des pistes sur « les rêves de l'humanité ».
Mais ces rêves qu'on nous « vend » (puisque aujourd'hui tout se rapporte à la valeur argent-profits) sont-ils l'avenir commun de l'espèce humaine ?
Parfois, et de plus en plus, j'ai l'impression que nous sommes dans un temps où les activités humaines, l'organisation sociale, le système économique dominant, créent un chaos, des dérèglements qui hypothèquent la survie même de l'espèce humaine.
Nous sommes poussières d'étoiles, l'avenir n'est pas écrit...
lundi 16 septembre 2024
MODEM : Bayrou s'est perdu et ses député-es silencieux avec lui !
vendredi 13 septembre 2024
LA FRANCE : un pays à la population vieillissante....
dimanche 8 septembre 2024
FLORILEGE DES "POSTS-BILLETS D'HUMEUR" matinaux
mercredi 28 août 2024
COMMENT VOUS SENTEZ-VOUS ?
Comment peut-on se sentir, quand on a éduqué, enseigné, transmis des valeurs de justice, de partage, de morale, de respect, de « liberté-égalité-fraternité », de reconstruction après une guerre destructrice, ...et qu'on voit tout cela balayé, contredit, ignoré, bafoué par une personne censée représenter TOUS les français-es et les protéger, qui, en fait, décide seul en autocrate et ne défend que les intérêts d'une caste et d'un système d'argent.