Parution dans le magazine ZUT de janvier 2025 consacré à notre RACING STRASBOURG de coeur !
Photo de l'excellent Christoph De Barry
Parution dans le magazine ZUT de janvier 2025 consacré à notre RACING STRASBOURG de coeur !
Photo de l'excellent Christoph De Barry
C'est un mot clivant, rejeté, car on ne veut pas prendre en compte les constats que chacun-e peut faire et qui impacte notre quotidien et notre futur quasi immédiat, proche. L'accélération des choses est bien là, on se sent impuissant, alors on laisse faire car on ne veut pas remettre en cause un système dont on sent bien qu'il nous entraîne sur des voies qui détruisent, avec des conséquences que l'on peut imaginer quand on amalgame une vision globale.
Dans cette société, l'argent est fondamental : l'individu travaille pour un salaire et achète au moyen de ce salaire. Il y a une valeur sociale, dans les sociétés consuméristes, accordée au fait de travailler et d'acheter, de s'adapter au « marché ». Au lieu d'être vu comme une source de dépendance, de vulnérabilité, c'est ressenti comme socialement valorisant.
Mais on n'a pas les mêmes besoin en fonction de la période de l'histoire à laquelle on appartient, en fonction du lieu où l'on vit.
Dans une société où tout est fait pour que le téléphone soit l'outil d'accès à énormément de services, il devient indispensable... et on incite à le changer régulièrement (business is business). *
Le récit d'un « cloud », d'un numérique qui serait immatériel est un pur mensonge puisque cela détruit tout, tout autour.. Le besoin de calcul informatique pour l'IA a été multiplié par un million en six ans et décuple chaque année.
On dénombre plus de 5000 data centers, centres de données dans le monde : 2700 aux USA, près de 3000 en Europe appartenant aux géants du numérique, Google, Méta, Amazon, Microsoft, avec une consommation démesurée en eau, en électricité, en terrains. **
Ces Data Centers émanent aussi des gazs à effet de serre qui seraient 662% plus importants qu'annoncés. Une requête sur l'application ChatGPT consomme dix fois plus qu'une recherche sur Google (ou Qwant).
Pour pallier à cette immense demande d'énergie, les compagnies misent sur la fusion nucléaire et la construction de « mini-réacteurs » . Three Mile Island, centrale nucléaire américaine fermée depuis 2019 à la suite de l'accident de 1979, est relancée par Microsoft.
Quelle est l'utilité de ces données stockées ? 88% peuvent être considérées comme des « junk data ».
Avoir le choix entre un produit A et un produit B, ce n'est pas la même chose qu'avoir le choix entre acheter un produit et ne pas l'acheter. L'Etat a toujours soutenu le capitalisme, et donc le consumérisme. Cette idéologie du choix et de la liberté des consommateurs se heurte au mur des inégalités.
Plus les individus auront une communauté par laquelle ils pourront accéder à des ressources, plus ils seront capables de boycotter le marché.
La pollution mortifère liée à l'extraction des ressources naturelles (pétrole, gaz, lithium, terres rares, …), liée au consumérisme de produits éphémères (amenés par tankers, camions, avions, …) est une réalité qu'on ne peut qu'observer, mais plus contester.
En 2024, 57% de la population mondiale, soit plus de 4,6 milliards de personnes, vit en ville. Le développement des villes repose sur un besoin gargantuesque de matériaux et de ressources qui les rend dépendantes, et donc vulnérables, mais repose également sur l'exploitation des territoires ruraux.
La municipalité est l'échelle privilégiée et stratégique. : habiter, coopérer, autogérer, c'est ce qu'on définit aujourd'hui comme la voie « ruraliste ».
Le tout-bio, tout-vélo, tout-écolo des politiques métropolitaines ne changera rien à la réalité.
85% des déplacements domicile-travail se font en « autosolisme » c'est à dire seul dans une voiture cinq places.
L'habitat est une condition première de la décroissance. Les Eco-Hameaux sont de fait réservés à un certain public qui a de l'argent. Pour accéder plus facilement à se loger, se libérer du poids du foncier, on peut louer sur le long terme des terrains, diminuer le coût de la construction en réduisant la taille et utiliser des matières comme le bois, mutualiser certains espaces (cuisine, buanderie, salle de réception, chambres supplémentaires).
Tous nos débats sont placés sous le signe de la contrainte financière avant d'être placés sous le signe de l'utilité sociale, des besoins. Le verrou du remboursement de la dette nous contraint à faire des choix de court terme qui nous orientent dans la direction inverse de celle que nous devrions prendre collectivement.
L'austérité ne fonctionne pas, c'est un mécanisme qui consiste à pratiquer des saignées sur un corps déjà malade, et revient donc à l'affaiblir encore plus.
Une Banque Centrale (BCE par exemple) ne peut pas faire faillite, elle peut théoriquement s'endetter à l'infini et a la capacité d'annuler certains titres de dette qu'elle détient. On peut mettre en place un système de création monétaire libre de dette, placé sous strict contrôle démocratique.
Le Conseil National de la Résistance avait bien envisagé la création d'un « Parlement du crédit et de la monnaie ».
La dette est un sujet éminemment politique, à la merci de toutes les manipulations. Elle permet de justifier toutes les réformes structurelles et d'autoriser tous les sacrifices.
L'avenir n'est pas écrit....
* Le Fairphone (ni américain, ni coréen, ni chinois, mais hollandais) est un téléphone durable, réparable, pièce par pièce.
** DIGITAL REALITY à Marseille est le plus grand centre de trafic de données en France et est combattu par le Collectif « le nuage est sous nos pieds » et « la quadrature du net ».
Enfant de l'après-guerre, j'ai vécu et pu mesurer l'évolution qui a changé nos quotidiens ainsi que l'accélération dans le sens d'un système qui s'est mondialisé avec tous les impacts négatifs sur notre planète-lieu de vie.
Dès les années 50, la « modernisation » de l'agriculture a encouragé les remembrements, regroupements des exploitations agricoles pour faciliter le travail mécanique. Cela a engendré l'arrachage des haies et l'aplanissement des terrains.
Le temps de paix et la mémoire des horreurs des armes font que beaucoup de jeunes aspirent à une autre vie, voyagent en auto-stop à travers les continents et se regroupent dans « des communautés » à la campagne.
Influencé par les beatnicks et le mouvement hippie, le soulèvement de Mai 68 remet en cause le modèle productiviste et consumériste : « A bas la société de consommation ». C'est dans son sillage que naît une écologie politique avec comme figure emblématique, André Gorz qui cite pour la première fois le principe de « décroissance ».
Emblème de la contre-culture post-68, la bande dessinée de Gébé du magazine Politique Hebdo (ancêtre de Hara-Kiri et Charlie Hebdo) « L'An 01 » marque toute une génération. Elle sera adaptée en film (avec Coluche, Miou-Miou, Depardieu) et sort en salle en 1973.
Emblématique aussi, les luttes sur le plateau du Larzac contre l'extension d'un terrain militaire qui dureront de 1971 jusqu'en 1981 et qu'annulera le président nouvellement élu, François Mitterrand.
En 1972 paraît aussi le rapport Meadows (des chercheurs du MIT-Massachusetts Institute of Technology) qui s'intitule « The limits of growth » (les limites de la croissance), ouvrage commandé par le Club de Rome qui réunit scientifiques, industriels et hauts fonctionnaires. Pour éviter un effondrement global, la seule solution est d'organiser une économie sans croissance. Traduit en 37 langues, l'alerte du rapport reste lettre morte.
Le développement de la voiture individuelle commence à polluer les espaces urbains que le choc pétrolier de 1973 a interrogé. A sa suite, le plan Messmer engage la France sur le terrain nucléaire avec le choix de la construction de 58 réacteurs (Bugey, Fessenheim, Golfech, Plogoff) qui rencontre une forte opposition et des manifestations importantes comme contre le projet du surgénérateur Superphénix de Creys-Malville. S'opposer au nucléaire, c'est rejeter le capitalisme et la société de consommation. En 1981, ces mobilisations ont abouti dans un premier temps à l'abandon du projet de la centrale nucléaire de Plogoff (Bretagne) et de la non-mise en service de Superphénix.
dessin de TARDILe tourisme de masse fut tout autant dénoncé avec le parc de la Vanoise et de la bétonisation des stations balnéaires du Grau-du-Roi, du Cap d'Agde et de La Grande-Motte.
« Je bois devant vous un verre d'eau, précieuse, puisque avant la fin du siècle, elle manquera » avertit René Dumont à la télévision, cet ingénieur agronome qui marque l'élection Présidentielle de 1974., tout comme son livre « L'Utopie ou la Mort ».
Dans les années 80, la baisse des prix du pétrole met à distance le problème de la rareté des ressources qui ne sont pourtant pas illimitées. La pensée néo-libérale imprègne l'espace public.
En 2002 apparaît Pierre Rabhi, ancien ouvrier devenu spécialiste de l'agroécologie qui se présente à l'élection Présidentielle, mais il n'obtiendra pas les 500 signatures de maires pour aller jusqu'au scrutin. Ces années-là, on voit ici des mouvements qui s'attaquent au pilier du consumérisme : la publicité.
L'Institut Momentum de Yves Cochet et Pablo Servigné développent la collapsologie dans leur essai « Comment tout peut s'effondrer ». Développement durable, mot d'ordre, va voir la création de pas mal de publications comme Le Sauvage, Silence, l'Age de Faire.
« Ni ici, ni ailleurs » initie de nombreux combats contre des projets d'aménagement contraires à l'intérêt général (extension d'aéroports, centres commerciaux démesurés, sites d'extraction, ferme à mille vaches, Notre Dame des Landes, barrage de Sivens, montagne d'or en Guyane, Europa City, mégabassines, …) qui aboutissent parfois à mettre un coup d'arrêt à la logique d'expansion.
Il est bon parfois de se souvenir d'où on vient, ce qu'on a traversé et qui explique qu'on n'a pas désarmé et qu'on s'inspire de toutes ces mobilisations, luttes et alertes des gens de notre génération et suivantes...
L'avenir n'est pas écrit...
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Sources diverses dont Wikipedia, de nombreuses revues et magazines, livres, ….
Jeudi 16 janvier 2025
FAIS-MOI PEUR !!!!! Bien sûr, le gouvernement éphémère de Bayrou ne tombera pas aujourd'hui, puisque la motion de censure ne peut pas atteindre la majorité des voix, car de toute façon, le bloc central, les Renaissance-EPR, MODEM, Horizons et LR ne voteront pas et sûrement pas non plus le FN-RN qui attend la présentation du budget dans quelques semaines pour le faire. Ce n'est pas cohérent de la part du FN-RN puisque c'est le même gouvernement à l'identique de celui de Barnier et le même programme, mais bon !Ce qui sera scruté ce soir c'est le vote ou non des députés PS dont le clan Hollande qui veut reprendre les commandes du PS à leur congrès dans quelques semaines. Olivier Faure tiendra-t-il ses "troupes" dans la ligne de l'union du Nouveau Front Populaire ou actera-t-il la scission ? Si c'est le cas, le PS est mort car qui voterait encore pour ces candidats traîtres ? La force du NFP c'est l'union, le collectif et même si Mélenchon, qui n'est pas député, est un repoussoir aujourd'hui, le programme commun "l'avenir en commun" est celui qui nous rassemble et il sera temps de trouver une autre tête et équipe autour pour les élections à venir...Si le PS quitte donc le NFP, il aura ses propres candidats et subira le même sort qu'aux dernières élections, mais ne sera pas repêché cette fois-ci...Les promesses de Bayrou se déclinent ainsi : "peut-être, probablement, rien n'est exclu de la discussion..." Si quelqu'un trouve que cela ressemble à des engagements et promesses, il faudra qu'il révise le sens du vocabulaire français...Le panier est quasi vide, mais les carriéristes égotiques sont nombreux ! Le sursis de Bayrou et ses revenants est limité, la chute sera lors de la présentation du budget (à l'identique des précédents avec quelques vagues nuances sans grands changements. Qui est encore dupe après cette année de grand cirque pas très drôle !!! Macron voyage (au Liban cette fois-ci) pendant que Bayrou fait le guignol !!! C'est la France en janvier 2025. Il manque combien de milliards ? Voilà où on peut les trouver : cadeaux d'Etat aux big entreprises ex-CICE, , chez les dividendes des actionnaires, et dans les paradis fiscaux tout autant, dans la transmission des patrimoines, dans une nouvelle tranche supérieure d'impôts, dans les transactions boursières, dans ....Comment non, ça on n'y touche pas ! Ah bon ....
Mercredi 15 janvier 2025
Alors que le POUVOIR est totalement capté par le seul président, on voit bien ce que cela engendre au niveau social, environnemental et économique. On ne parle que de dettes, de budget restrictif pour les services publics, d'inflation, de … L'argent comme « vertu » politique !!!
Les Collectivités Régionales, les Communautés de Communes voient leurs possibilités d'actions locales limitées par le diminition de leurs reversements financiers nationaux pour assurer leurs compétences sur leurs territoires administratifs à gérer.
En même temps, le président a une anomalie récurrente de ne respecter aucune expression démocratique du vote des françaises-français et de la représentation des députés au sein de l'Assemblée Nationale.
Ces situations créent des sentiments d'impuissance, de peur, de colères avec toutes les tensions sociales que cela engendre. Quand on n'est plus écouté, quand on a une impression de ne plus exister, on peut cependant agir...localement. Et collectivement, les rapports de force peuvent changer pour imposer ou aller concrètement vers une autre forme d'organisation territoriale où nous pouvons reprendre du pouvoir sur les évolutions espérées.
Prenons un exemple parmi d'autres et qui concerne tout le monde : la TEOM ou la REOM.
Derrière ces sigles il y a la Taxe Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) et la Redevance Enlèvement des Ordures Ménagères (REOM). Non, je ne vais pas faire un déroulement technique, restons relativement simple.
Les taxes sont des dépenses incontournables pour tous les foyers et les améliorer, les réduire a forcément un impact sur les bourses des ménages.
Depuis 1975, la gestion des déchets a été transmis aux Intercommunalités, les Communautés de Communes. Ceux-ci ont délégué cette « compétence » à des sociétés privées et le paiement est géré par ….l'Etat , qui prélève la TEOM incluse dans la Taxe Foncière payée par les propriétaires. Ceux qui louent imputent une part de cette TEOM dans les charges des loyers selon leurs propres « critères » ! Toujours est-il que cette TEOM est totalement injuste, le montant imposé par l'Etat est basé sur la valeur locative du bien immobilier. Elle n'est pas du tout juste et en rapport avec la réalité des faits. Pour comprendre facilement (sans caricaturer), prenons le cas d'une personne (âgée) qui se retrouve seule dans une maison familiale (plus ou moins grande avec un peu de terrain autour). Elle va payer selon la « valeur locative » de la maison alors qu'elle ne va produire que peu de ...déchets ! On peut bien sûr prendre un autre cas de figure où le nombre de personnes dans un habitat réduit loué, produit beaucoup de déchets et ne paiera pas à la hauteur de ce volume à enlever et traiter.
Dans tous les cas, c'est une taxe injuste au sens où elle ne tient aucun compte des situations réelles et surtout n'incite aucunément à réduire les déchets domestiques ce qui engendre les pollutions des incinérateurs, des zones d'enfouissement, et un coût toujours plus élevé.…
Pour réduire la facture et répartir le coût du service de façon plus juste, il y a la REOM.
C'est quoi la différence entre taxe et redevance ? Précisons un minimum pour comprendre la suite.
Taxe : sert au financement d'un service public, le paiement est obligatoire par tous, usager ou non, car c'est la contrepartie d'un service proposé, pas forcément rendu.
Redevance : est versée à l'administration gestionnaire contre une prestation dont il est bénéficiaire, le montant est proportionnel au coût du service rendu. Elle relève du pouvoir éxécutif de l'administrateur (donc de la Communauté de Communes) et ne dépend ni de l'Etat (Président), ni du Parlement (Assemblée Nationale-Sénat).
Ce qui veut dire que une Communauté de Communes - au lieu de déléguer à une société privée et paiement de la taxe à l'Etat – peut gérer elle-même le service d'enlèvement et de traitement des déchets et encaisser directement le coût du service qu'elle pourra adapter à la réalité des situations diverses. Afin d'en réduire encore les coûts (liés aux volumes), il existe déjà presque partout des lieux de tri sélectif, les conteneurs installés dans les communes, et des centres de tri plus large intercommunaux. En plus, ces tris permettent la revente des produits réutilisables, valorisables dans le recyclage, l'industrie. Il y a donc la possibilité d'une réelle maîtrise des coûts, du budget de ce service et cela devrait se traduire (si l'effort collectif réduit les déchets non-recyclables) par une diminution du montant que nous payons pour cette compétence intercommunale «enlèvement et traitement des déchets ménagers ». C'est ainsi qu'on peut agir localement, faire évoluer les choses et que cela se traduise aussi par un impact sur le portefeuille des ménages.
Pourquoi cela n'est mis en place que par très peu de Communautés de Communes ?
Moins de 200 dans toute la France. Bien sûr, cela demande une mise en place difficile par la création d'une régie qui doit s'équiper pour la collecte, puis sous-traiter le traitement, gérer les coûts et émettre les factures en établissant avec les communes les situations réelles de chaque foyer. S'occuper aussi d'une campagne d'information intense.
Mais ces investissements premiers s'atténueront lorsque le service sera en place et les exemples existent pour le prouver. Aller voir par exemple du côté de la Communauté de Communes de la Région de Guebwiller qui a mis en place ce service depuis plus de 10 ans. Le montant de la REOM est composé de deux parties : une part fixe qui comprend la gestion administrative, le coût du matériel roulant et des points de tri-déchets ; et une part variable calculée sur le nombre de levée de la poubelle de déchets non-recyclés ou du pesage par un système de puce intégrée à la poubelle. Il y a aussi un accès gratuit selon un volume donné aux centres de tri intercommunaux et l'installation de conteneurs de tri dans toutes les communes. Les points sensibles de l'habitat collectif et de la verbalisation des déchets sauvages ont également été traités. L'affinement des situations diverses se fait au fur et à mesure pour correspondre au plus juste au concret.
AGIR ENSEMBLE, LOCALEMENT, POUR FAIRE EVOLUER LES CHOSES
Pour pas mal d'autres situations, s'alimenter, se déplacer, construire, en agissant collectivement, on peut faire évoluer notre environnement. Il faut préserver nos lieux de vie, les faire vivre en achetant local, mobiliser les artisans du territoire, créer du lien social par des évènements festifs, culturels, des rencontres, mettre de la joie pour franchir les différences en agissant ensemble sur des projets communs, améliorer et inciter les richesses locales, créatives, individuelles et associatives.
Chacun-e de nous a du pouvoir, de l'imagination, faire ensemble donne la force et la confiance, dépasse la peur et la solitude, l'individualisme. Cela fait sens dans une vie.
L'avenir n'est pas écrit....