C'est un peu la stratégie actuelle (nous faire abdiquer) qui va mener je ne sais où quand on pense globalement.
* Elections et ignorance des résultats, une atteinte au fonctionnement des institutions.
Un gouvernement - à droite toute – à l'opposé de ce qui est exprimé dans le vote populaire (une voix = un vote) des urnes, donc illégitime, légal au sens d'une procédure qui date de 1958 et jamais utilisée précédemment.
Un pourrissement du débat parlementaire : on laisse discuter, voter des textes du budget 2025 par une Assemblée Nationale désertée par les partisans de ce gouvernement qui savent que lors du vote du texte de fin des débats budgétaires, ils seront là pour voter CONTRE (les députés EPR, HORIZONS, MODEM, LR et RN) et le texte ira ensuite au Sénat (majoritaire à droite) qui reprendra la mouture initiale de Barnier-Wauquiez-Le Pen, en oubliant le long travail des députés présents à l'Assemblée Nationale. Et pour finir, le texte reviendra en deuxième « lecture » à l'Assemblée Nationale pour un vote de validation qui sera probablement appliqué à ce moment-là par le processus 49.3 (sans vote, sans débat) ou par un vote POUR (le texte initial) par les mêmes EPR, HORIZONS, MODEM, LR et RN...
Pas étonnant qu'au bout d'un moment, devant cette mascarade cynique, on abdique.
Et cela d'autant plus que ce qu'on entend autour de soi est la répétition de la propagande journalière des merdias, les fournisseurs (commanditaires) du gouvernement et « amis » du roi-président qui voyage beaucoup depuis qu'il a crée le chaos institutionnel.
Quand en plus, on y adjoint génocide et dictateurs, amplification des phénomènes climatiques sans aucune action sur les causes du réchauffement climatique et ses catastrophes mortifères, alors on a de quoi se poser de multiples questions, de s'interroger sur quel avenir, de …...ou de se retrouver fourmi, insecte éphémère, valeur d'ajustement, inutile, déconsidéré, impuissant, …
« Que reste-il de nos amours, que reste-il de nos beaux jours, …. ».
« Les Jours Heureux » sont bien loin et inconnus pour la plupart des gens en ce XXIème siècle.
Et celles et ceux qui en sont issus, encore vivants, n'ont plus droit à l'expression, leur temps est révolu !
Alors, on regarde la « jeune génération » et on est dubitatif car les voies empruntées sont multiples et si certains cheminements sont jouissifs et résilients, d'autres sont à la mesure de cette civilisation occidentale qui avance vers un mur de ressources finies !
« L'imagination au pouvoir ». Mais pour être imaginatif, il faut être LIBRE et ça, ça veut dire quoi pour vous : ETRE LIBRE ?
J'aime beaucoup le slogan qui me fait toujours sourire quand je l'entends sur ma webradio préférée, sing-sing bis : « règle numéro un : jamais mollir ! »
L'avenir n'est pas écrit...